Le bon moment pour se faire coacher, on l’attend souvent. Et pourtant, il ne se présente presque jamais comme on l’imaginait.
Un quotidien trop prenant
Beaucoup de managers se disent que ce sera plus simple “plus tard”. Quand ce sera plus calme. Moins tendu. Plus clair. Quand on manage, les urgences prennent toute la place. Et, on a rarement du temps pour soi, pour réfléchir. Alors, on repousse l’idée du coaching.
Pourtant, des questions reviennent, en sourdine : est-ce que je fais vraiment les bons choix ? Pourquoi c’est aussi difficile ? Et moi, dans tout ça ?
Le bon moment pour se faire coacher
Ces questions sont légitimes. Elles méritent d’être accueillies. Elles ont besoin d’un espace à part pour être posées… et explorées. Le bon moment pour se faire coacher, c’est souvent maintenant.
Un jour, une femme m’a dit non à un coaching. Trop fatiguée et trop sollicitée. Deux ans plus tard, elle est revenue. Bien sûr, la situation avait empiré. Mais cette fois, elle était prête.
Quand ça pique
C’est rarement quand tout est parfait qu’on commence un coaching. C’est souvent quand ça pique, ça bouge, ça brûle. Et, c’est à ce moment-là que le travail devient utile. Et puissant.
Avec le recul, elle m’a confié :
- Le coaching ne prend pas du temps, il en libère.
- Il ne complique pas les priorités, il éclaire l’essentiel.
- Ce n’est pas une charge, il rend lucide, stratégique et aligné.
Donc, le bon moment pour se faire coacher, c’est souvent celui où l’on doute et où l’on vacille un peu. Ce moment imparfait, inconfortable, mais sincère. C’est là que le coaching prend tout son sens.