Le syndrome de la cabane est un terme médiatique, sans être un réel trouble psychologique. Cependant, il révèle plusieurs dimensions :
– Se sentir protégé chez soi face au monde extérieur perçu comme dangereux avec le virus,
– Avoir peur de l’autre, source de contamination,
– Refuser, cesser ou limiter les interactions, très demandeuses d’adaptation à l’autre et coûteuses d’énergie.
Donc, c’est confortable et douillet d’être chez soi, de rester dans sa cabane. Mais le risque est la perte de nos aptitudes sociales, de notre capacité à vivre en société, à se confronter à elle et de savoir réagir à l’inattendu.
La solution serait d’équilibrer le repli intérieur, pour se ressourcer, se reposer, et l’extérieur, pour se nourrir du monde et s’y sentir vivant. En résumé, un endroit protecteur du monde pour apprendre à mieux y vivre.
Un besoin de travailler sur vos interactions sociales ? Contactez-moi !
Pour lire la totalité de l’article. Photo by Martin Widenka on Unsplash