C’est la conviction de la journaliste Soraya Chemaly, autrice du livre “Le pouvoir de la colère chez les femmes”. Selon elle, la colère féminine est encore associée à l’irrationalité, l’hyperémotivité, l’impolitesse, perçue comme très négative, voire totalement illégitime (ce qui n’est pas le cas chez les hommes). Dès le plus jeune âge, il est demandé aux petites filles d’étouffer cette émotion et montrer du calme et de la sérénité ou de la tristesse, mieux acceptée chez les filles. Soraya Chemaly propose d’accepter d’être colère et de l’assumer, afin de faire entendre sa voix, savoir dire non et bousculer les choses. Ce qui en fait un instrument de pouvoir car la colère est légitime et une forme d’affirmation de soi.
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« Je réagis mal aux critiques et je boude »
« Je réagis mal aux critiques et je boude ». Chaque personne que j’accompagne prononce une phrase clé au cours de son coaching. Je vous livre ici ces moments, qui éclairent mon travail de coach. Le prénom a été changé. « Je réagis mal aux critiques et je boude »...