Le confinement amène un nouveau regard sur le temps : les journées peuvent se ressembler, être lentes ou au contraire passer très vite. Ce regard est lié au fait que, quand l’espace change, le rapport au temps change et de différentes manières :
– Le choc de passer d’une vie ultra occupée, très rythmée, parfois à cent à l’heure à un arrêt brutal et sans préparation.
– La non distinction entre durée et temps, pourtant essentielle : la durée est en lien avec notre perception du temps qui s’écoule et le temps est mesurable (en secondes, minutes…). Par exemple, même si vous voulez boire un thé chaud tout de suite, vous devez irrémédiablement attendre que l’eau chauffe et que le thé infuse. Cette attente peut paraître plus ou moins longue selon votre impatience, ce ressenti et ce vécu propres à chacun.
– La peur de l’ennui : l’ennui, c’est ressentir la puissance du temps et cela peut procurer une profonde angoisse.
Pour faire face à ce temps, il est important de se le réapproprier autrement : accepter ces moments vides comme des respirations temporelles, des moments de créativité et pour mieux faire connaissance avec soi-même.
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